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Initiateur de l'expo-promenade Le jardin planétaire, qui s'installera dans la Grande Halle du parc de la Villette du 15 septembre 1999 au 23 janv. 2000, l'auteur, paysagiste atypique, réaffirme qu'il faut aller le plus loin possible "avec" et le moins possible "contre" la nature.

Paysagiste et théoricien du jardin, G. Clément raconte l'histoire de chacun de ses jardins les plus célèbres et dévoile la diversité de son œuvre. L. Jones dresse le portrait de cet homme, de sa démarche et de son style mais aussi de ses combats. L'ouvrage prône une écologie humaniste et s'interroge sur la place de l'homme dans des écosystèmes en constante évolution.

Histoire de quelques-unes des plantes sauvages qui se trouvent dans les jardins et les friches : rhubarbe du Tibet, pavot de Californie, armoise de Sibérie, entre autres. L'auteur décrit comment l'action de l'homme a permis à ces végétaux de se développer.

L'auteur s'attache à mettre en lumière l'art involontaire qui naît de la synergie entre l'homme et la nature, créant par hasard des tableaux d'une beauté remarquable.

Considérant la nature comme une chaîne nécessaire à comprendre et à apprivoiser, G. Clément décrit les phénomènes météorologiques comme la pluie ou le vent, non comme des ennemis mais comme des éléments naturels qu'il faut accueillir. Des phénomènes stupéfiants sont présentés. En 1946, V. Schaefer montre notamment qu'ensemencer le nuage à l'aide de neige carbonique produit aussitôt de la pluie.