Creusant la perspective d'une écologie de l'art, Grégory Castéra, Yaël Kreplak et Franck Leibovici s'intéressent aux différents modes d'existence des oeuvres. Partant du principe que celles-ci vivent aussi dans les récits qu'on peut en faire, ils font le pari de montrer matériellement, sous la forme d'un projet conçu comme un parcours d'entraînement, les propriétés spécifiques que les oeuvres d'art possèdent dans nos conversations ordinaires.