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De la préhistoire à l'art moderne, l'animal a servi de révélateur à l'homme, aussi bien dans les beaux-arts que dans les arts plus populaires. Ce thème est notamment présent dans des peintures de Goya, des dessins de Charles Le Brun, des toiles de Max Ernst ou des caricatures de Roland Topor. Publié à l'occasion de l'exposition organisée par les musées de Strasbourg au printemps 2004.

Analyse la mélancolie dans l'art, considérée depuis l'antiquité jusqu'au romantisme et au post-modernisme comme un signe de génie. A travers plus de 200 oeuvres, ce catalogue offre un large panorama des représentations de la mélancolie dans l'art, de la douceur à la furie. Montre comment, de Dürer à Kiefer en passant par Cranach, Schongauer etc, la mélancolie a façonné le génie européen.

Certains artistes contemporains oeuvrent dans le sens d'une consolidation du lien social. Ils activent l'échange direct ou la réciprocité, initient de grands rassemblements ou créent des structures d'accueil, dans une démarche favorisant un mieux "être ensemble". D'autres élaborent des utopies qui interrogent et critiquent l'organisation sociale et son lot de frustrations.

Traitant avant tout de l'art contemporain, l'auteure entend apporter un éclairage sur l'intérêt nouveau de l'art pour la mode. Elle présente les différents types de collaborations et d'échanges entre ces deux sphères.

L'histoire des femmes artistes au XXe siècle en France.

Catalogue de l'exposition organisée par le Musée d'Aquitaine et la ville de Bordeaux sous le patronage d'Alain Juppé et de Christine Albanel.

Histoire de ce répertoire décoratif, inspiré de l'art antique, associant rinceaux, animaux et personnages hybrides, candélabres et vases. Décrit la redécouverte des rinceaux antiques lors de fouilles de la fin du XVe siècle, en particulier dans la Domus aurea de Néron, leur emploi par Raphaël et son atelier et leur succès en Europe, du XVIe au XIXe siècle.

Suivant la même démarche que son Histoire de la beauté, l'auteur parcourt la culture occidentale (littérature, philosophie, iconographie) pour identifier les déclinaisons d'une catégorie, d'un concept esthétique qui a pris les formes les plus diverses, offrant toujours un miroir nouveau des peurs de chaque civilisation.

A partir de peintures, sculptures, de discours liés à ces oeuvres, G. Lascault décrit les images de la femme et s'interroge sur les manières dont elles ont été représentées. Ces figurations constituent souvent des instruments pour instaurer la haine entre les sexes.

Les relations entre l'art et l'économie sont étroites, l'économie étant perçue comme un outil de compréhension et d'analyse de l'art, l'art étant lui-même un outil pour lire, sinon pour comprendre le monde.

Texte d'une allocution prononcée en 1964 à l'occasion de l'inauguration d'une exposition de sculpture dans laquelle le philosophe précise les relations entre la sculpture et l'espace, l'art et l'espace, l'homme et l'espace. Il décrit le mouvement par lequel l'espace se fait espace, et l'homme aménage l'espace. Le commentaire met en relief le rôle singulier du corps dans la spatialisation.

L'auteur revisite l'histoire de l'art à partir des figures de Pygmalion et de Vénus. Amour de l'art, désir pour le vivant et plaisir de la matière comme moteurs, finalités et récompenses de la création : l'érotique traverse les images, les mots, les idées dans l'histoire occidentale, de la sculpture antique au cinéma moderne.

En changeant son corps, l'homme veut poser son empreinte sur le monde et participer à son inexorable mutation. Le document présente le travail d'une série d'artistes laissant place à de multiples expressions corporelles. De David Cronenberg soulignant l'idée de "corps mutant" et de "corps-objet" à Lukas Zpira défendant la transfiguration de soi par les épreuves corporelles à travers le Body Art.

Voyage au pays des images, à travers une sélection d'oeuvres des cinq continents. Grâce à quatre modes de lecture (animisme, totémisme, analogisme, naturalisme), cette exposition offre des repères permettant de décrypter les images, d'en vivre et d'en ressentir les intentions figuratives. Publié à l'occasion d'une exposition ayant eu lieu à Paris en 2010-2011.

Crimes, prisons, décapitations, autant de thèmes qui parcourent l'art depuis la Révolution française. Qu'il soit politique ou crapuleux, le crime de sang décuple par l'image sa puissance fantasmatique. De Goya à Grosz en passant par Delacroix, une exploration de la représentation du crime dans l'art.