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Panorama des différents courants esthétiques de l'art contemporain russe, centrés autour de trois époques majeurs : le non-conformisme des années 1960, le Sots-art des années 1970 ainsi que le conceptualisme et les mouvements à la suite de la perestroïka dans les années 1990. Présentation de peintures, sculptures, photographies, albums et dessins d'artistes russes.

The resurgent interest in contemporary painting in recent years has coincided with an explosion of new digital media and technologies. Contrary to canonical accounts premised on medium specificity, painting's most advanced positions since the 1960s have developed in productive friction with contemporaneous forms of mass media and culture. From the rise of television and computer technology to the Internet revolution, painting has assimilated precisely those cultural and technological developments that were held responsible for its presumed "death" or marginalization in the face of Conceptual art.
"Painting 2.0 : Expression in the Information Age" is the first exhibition to tell the story of painting's adaptation, absorption, and transformation of information technologies in Western Europe and the United States since the 1960s. This book includes three extended curatorial essays, considering the historical, formal, and theoretical questions of the exhibition's three central themes— "Gesture and Spectacle," "Eccentric Figuration, and "Social Networks"—as well as six statements by significant voices in the history and theory of painting.

La traduction française est parue à l'occasion de l'exposition : L'esprit Fluxus qui s'est tenue au MAC galeries contemporaines des musées de Marseille, au printemps 1995. Fluxus est un mouvement d'artistes qui placèrent leur art dans l'intermedia, entre la peinture, la sculpture, la poésie, la musique.

Présente des œuvres d'artistes contemporains (Andy Warhol, Daniel Spoerri, Mario Merz, Gina Pane...) sur l'acte de se saisir de la nourriture, de l'avaler ou de l'utiliser de quelque autre manière, étudiées sous trois grands aspects : la nourriture comme objet d'échange, comme objet d'épreuve ou objet d'une mécanique transitionnelle. Avec deux entretiens, de W. Delvoye et de J. Sterbak.

Cet ouvrage présente les ateliers de fabrication numérique à taille humaine, ce qui peut y être produit et les outils qu'ils mettent à disposition. Ce panorama est illustré par la présentation de 25 projets issus de ces centres de création.

Le catalogue accompagnant l'exposition éponyme qui rassemble des œuvres de 56 femmes artistes qui ont représenté dans les années 1970 le corps de la femme. Elles ont été les pionnières dans le domaine et continuent d'inspirer les jeunes artistes.

Catalogue d'une exposition consacrée à la création contemporaine des identités LGBTQIA+ dans le monde arabe. Photographes, dessinateurs, vidéastes ou encore peintres rendent compte de la variété des récits queer, entre activisme, érotisme et poésie.

Rétrospective de plus de 300 oeuvres de l'arte povera, qui offre une relecture inédite de la production artistique italienne entre 1960 et 1975. Démarche artistique s'opposant à la consommation de masse et réhabilitant la place de l'homme et de la nature dans l'art, l'arte povera en renouvelle les thématiques, les matériaux, les gestes et l'intention.

En 1969, John M Armleder cofonde à Genève l'Ecart Performance Group avec Patrick Lucchini et Claude Rychner. Cette aventure artistique collective, placée dans la continuité du mouvement Fluxus, se développe ensuite pour devenir une galerie autogérée, une maison d'édition, une librairie… Basé à Genève, le groupe Ecart est reconnu comme l'un des relais importants de l'art expérimental des années 1970 en Suisse. Le MAMCO propose la réédition augmentée de l'ouvrage de référence sur une période de l'art suisse et européen particulièrement foisonnante et provocante, encore trop peu documentée.

L'hypothèse d'un renouveau de l'habitabilité du monde du point de vue des artistes dans une perspective convergente de l'histoire politique, des humanités environnementales et de l'histoire de l'art, interrogeant les liens entre écoféminisme(s) et pratiques artistiques, mais aussi un autre rapport, plus collaboratif que séparatif, au monde vivant, considéré non plus comme un tout mais comme une multitude.

Les témoignages de sept éditeurs de livres d'artistes, des pionniers dans leur pays (France, Allemagne, Belgique et Italie) qui ont œuvré au développement de ce genre au cours des deux décennies fondatrices. Les entretiens témoignent du rôle important des éditeurs, rôle souvent minoré par les artistes en quête de liberté, et mettent en lumière les caractéristiques d'une fonction originale.

Les témoignages de trois éditeurs de livres d'artistes, des pionniers dans leur pays qui ont œuvré au développement de ce genre au cours des deux décennies fondatrices. Les entretiens témoignent du rôle important des éditeurs, rôle souvent minoré par les artistes en quête de liberté, et mettent en lumière les caractéristiques d'une fonction éditoriale originale.

Les cartes postales sont souvent vite achetées puis jetées sans trop y attacher d'importance. Cependant, les cartes postales d'artistes, constituent à partir des années 1960, une part importante de l'histoire de l'art contemporain. Une simple carte postale touristique peut être facilement utilisée ou transformée à des fins politiques, satiriques, révolutionnaires ou ludiques. La seule exigence est qu'elle passe dans une boîte aux lettres et, contrairement aux œuvres d'art traditionnelles, elle n'exige rien de plus qu'un cachet postal pour pouvoir être vue partout dans le monde. Fabriquées avec du matériel de tous les jours, les cartes postales invitent à la manipulation, font partie de notre quotidien, sont récoltées, retournées en tout sens et montrées à nos amis. Le coût de production peu élevé incite les artistes à les utiliser pour leurs œuvres.

Tout est-il devenu réseau ? Le réseau ne cesse de se démultiplier : réseau d'information, réseau de communication, réseau biologique, réseau de pouvoir, réseau de neurones, réseaux sociaux... À travers les textes de sept auteurs et les œuvres d'une soixantaine d'artistes, architectes et designers, ce cinquième opus, édité dans le cadre du cycle Mutations-Créations (Centre Pompidou, Mnam-Cci/Ircam), consacré au code et à la création, interroge la place du réseau dans la société actuelle.

Etude de la représentation du pire à travers les formes cinématographiques, documentaires, photographiques, voire artistiques, des représentations qui mettent en scène la mort, la souffrance, la sexualité ou les matières organiques tels les excréments.

Propose un panorama international de la peinture contemporaine, sa richesse, son éclectisme et son dynamisme à travers le travail présenté et commenté de 114 peintres témoins des tendances actuelles.