282 Cinéma (s)

Ces contributions envisagent la technique cinématographique comme un langage plastique propre. Evoquent des perspectives touchant au cinéma expérimental et d'avant-garde mais aussi celles liées au cinéma d'auteur contemporain préoccupé d'esthétisme autant que de narration. L'interdépendance du cinéma avec les autres arts plastiques est analysée.

La vie et l'oeuvre du cinéaste français C. Marker, qui tourna un peu partout dans le monde : Chine, Sibérie, Cuba, Israël, Japon, Paris... Figure marquante du cinéma de la deuxième moitié du XXe siècle, il participe au renouveau documentaire de l'après-guerre aux côtés d'Alain Resnais, Agnès Varda et Armand Gatti. Puis, dans les années 60, il s'intéresse au cinéma militant.

C. Akerman présente et commente sa vie et son oeuvre à travers des extraits de scénarios, de projets de films, d'installations vidéo, des photos de repérage. Avec deux films sur le DVD et un essai sur chacun de ses films et installations par des critiques, des cinéastes, des artistes, des collaborateurs de C. Akerman. A l'occasion de la rétrospective de son oeuvre au Centre Pompidou en 2004.

Cet ouvrage, publié dans le cadre d'un cycle présenté au Centre Pompidou à l'automne 2004, met en évidence, en confrontant films d'artistes, films expérimentaux et burlesques primitifs, la manière dont le comique, dans sa dimension destructrice, met en crise l'espace de la représentation sur un plan figuratif mais aussi compositionnel.

Ces vingt-cinq articles consacrés aux séries les plus audacieuses de ces dernières années, montrent que ces séries ont des qualités artistiques souvent mésestimées par la critique parisienne. Elles offrent aussi un effet de miroir critique et sombre de la société américaine et de son impact sur la planète, et démentent ainsi la superficialité dont est accusée la télévision américaine.

A travers l'expression matière d'images, J. Aumont définit ce que le cinéma détient de l'ordre de la peinture. Elle implique la référence à des tableaux précis mais aussi la manière de considérer l'écran comme une toile à peindre dans l'usage de la surimpression, du cadre et de la couleur et exprime l'idée du cinéma comme seul phénomène artistique de masse capable de relayer la peinture.

Réunit un nombre important de documents inédits (ou devenus introuvables) permettant de penser la genèse et la totalité de l'oeuvre de Jean-Luc Godard en tant que cinéaste, écrivain, plasticien, vidéaste, producteur : synopsis, lettres, press-books, scénarios, documents de tournages, etc.). Contributions de quelques artistes qui entretiennent avec cette oeuvre un rapport privilégié.

Synthèse faisant le point sur un des principaux "marqueurs" de l'originalité de l'art cinématographique, sa manière propre de rendre compte du monde. Permet en même temps de mieux comprendre ce que peut être chez un cinéaste la recherche d'un style particulier.

Le cinéaste évoque ses films, sa méthode de travail, ses idées et sa vision du monde.

Dans ces textes, C. Metz applique au cinéma les méthodes propres à la sémiologie et à la linguistique pour analyser la structure et la signification des films. Il étudie la théorie du cinéma dite classique et les problèmes qui se posent dans les années 70 aux théoriciens du cinéma.

Dans ces textes, C. Metz applique au cinéma les méthodes propres à la sémiologie et à la linguistique pour analyser la structure et la signification des films. Il étudie la théorie du cinéma dite classique et les problèmes qui se posent dans les années 70 aux théoriciens du cinéma.

Dans une première partie, H.H. Prinzler livre la biographie du cinéaste : sa vie en Allemagne puis aux Etats-Unis. Les deux autres parties sont constituées de textes qui permettent d'appréhender le travail de Lubitsch.