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Trois textes, extraits du recueil américain Dead cities, sur la place de la nature dans les villes, les villes comme des organismes vivants amenés à se développer et à mourir, les fausses villes construites dans le désert de l'Utah pendant la Seconde Guerre mondiale pour tester les bombes de l'armée américaine, les conséquences du 11 septembre 2001 sur l'architecture de New York, etc.

Le recueil de textes écrits par ce théoricien des cultural studies propose une théorie sociologique de la culture, s'interrogeant sur les mécanismes de production, de désignation et de distinction des pratiques et objets culturels en les reliant à la structure sociale, aux rapports de classe et à leur évolution historique.

Cet ouvrage reprend, en deux volumes, les quatre tomes de la première édition des oeuvres complètes de Charles Fourier (1772-1837) qui constitue le pivot de la pensée globale de ce philosophe français et de son projet pour transformer la civilisation - exploitation, oppression et pauvreté - en une société harmonieuse - libératrice, heureuse, à chacun selon son besoin.

Cet ouvrage reprend, en deux volumes, les quatre tomes de la première édition des oeuvres complètes de Charles Fourier (1772-1837) qui constitue le pivot de la pensée globale de ce philosophe français et de son projet pour transformer la civilisation - exploitation, oppression et pauvreté - en une société harmonieuse - libératrice, heureuse, à chacun selon son besoin.

L'histoire a dressé des frontières entre la tête et la main, la pratique et la théorie, l'artisan et l'artiste, le fabricant et l'utilisateur. La société contemporaine souffre de cet héritage. R. Sennett oppose les valeurs de l'artisanat à la dégradation des formes de travail : l'artisan est ainsi le coeur, la source, le moteur d'une société où priment l'intérêt général et la coopération.

A travers trois thèmes majeurs, les savoirs, les espaces et les situations, l'auteur propose de comprendre ce qui fait la ville actuellement. Les recherches faites en Afrique noire, en Amérique latine et en Europe permettent un regard révisé où la ville, malgré les divers modèles rencontrés, garde toute sa place dans une étude anthropologique de l'espace.

Fin des villes, territoires post-urbains : dans ces zones intermédiaires, de Soweto à la banlieue parisienne, de Notting Hill à Salvador de Bahia, se multiplient les précarités, les peurs et les morts, mais c'est là qu'également émergent loin des cadres institutionnels, de nouveaux types de relations, d'occupations de l'espace, de valeurs morales, que se crée un "minimum social vital".

Résultats d'une enquête de sept ans menée par l'anthropologue dans des camps de réfugiés principalement en Afrique. Il analyse le fonctionnement de l'action humanitaire à l'échelle mondiale, les critères de définition des réfugiés et s'interroge sur les effets politiques de l'action humanitaire et sur le traitement des réfugiés, sans protection et sans reconnaissance.

Enquête sur le développement des industries culturelles à travers le monde et sur le rôle du soft power culturel dans les échanges internationaux. L'auteur analyse les réussites de l'entertainment américain (multiplexes, Disney, blockbusters, pop music...), mais aussi le succès ou les échecs des industries créatives dans diverses régions du monde : Bollywood, telenovelas, al-Jazeera...

Le Skateboard est devenu un véritable phénomène urbain: cet ouvrage en retrace l'histoire et montre comment cette pratique, et la compréhension de l'espace urbain qu'elle implique, dépasse largement le cadre du sport et suggère une appréhension sociologique de la vie urbaine, de l'espace public de ce qui fait "ville".

Si chaque individu peut composer son espace intime comme il le souhaite, il ne le fait toutefois pas n'importe comment. L'auteure analyse comment nos contemporains disposent leurs objets dans l'espace domestique et comment ces objets orchestrent des passages d'un mode de vie à un autre. Des armoires aux tiroirs, du briquet jetable aux mèches de cheveux, histoire d'objets aimés ou détestés.

Pour une approche philosophique concrète et méthodique de la vie quotidienne.

Pour une métaphilosophie du quotidien dans la ligne du marxisme vivant.

Contrairement à ce que son titre pourrait laisser penser, cet ouvrage ne parle pas d'écologie au sens scientifique du terme, mais d'écologie politique, de la liberté des hommes à disposer de leurs vies et à décider de leur environnement. Les sept articles parus entre 1975 et 2007 développent la notion d'écologie politique comme éthique de la libération, et démontent la surchauffe consommatrice du capitalisme, cherchant, au-delà de Marx et du marxisme, à explorer des voies nouvelles pour sortir de l'impasse capitaliste.

Nourri d'interviews et de témoignages de blogueurs, d 'artistes, d 'adeptes du sexe en ligne, de figures de la militance Internet, cet ouvrage montre que la sociabilité du Web se combine de manière multiple et complexe avec les liaisons amoureuses ou amicales, les relations de parenté et les rapports de travail. Comment le Web invente des modalités neuves et fécondes du lien social.

En quelque mille entrées, cette encyclopédie propose de faire découvrir le vêtement sous tous ses aspects : les parties qui le composent, les effets qui le stylisent, les caractéristiques de base d'une garde-robe, l'origine des vêtements et leur histoire, etc. Chaque entrée est traduite en anglais.

Bien plus quun média de communication et dinformation, Internet est une forme politique à part entière. En décloisonnant le débat et en louvrant à de nouveaux participants, Internet renouvelle les possibilités de critique et daction. Surtout, le Web constitue à léchelle planétaire un laboratoire dexpériences démocratiques : auto-organisation des citoyens, socialisation du savoir...

A partir du récit de sa reconversion professionnelle, un universitaire américain devenu réparateur de motos livre une réflexion, mêlant anecdotes, remarques sociologiques et philosophiques, sur le sens et la valeur du travail dans les sociétés occidentales.

Un portrait des paysages urbains, de leur gestion et de leur appropriation, tant par les pouvoirs publics que par les usagers, dans les villes de France en pleine mutation.

Cet essai, bilan des grandes questions de l'anthropologie contemporaine, entend notamment montrer que, dans les sociétés, le phénomène de pouvoir résulte moins des structures (l'institution de la loi) ou de l'organisation sociale, que de l'acceptation par les êtres dominés de leur assujettissement.